L’année 2022 démarre avec un pic de la Covid 19 jamais atteint. Mais le directeur général de l’OMS rassure…en clamant que l’année 2022, doit être celle où nous mettrons fin à la pandémie de la Covid 19.
Comme tout est dans la réthorique quand la précision zigzague…une nuance de taille apparaît dans les propos du chef de l’OMS, car il ne dit pas que l’année 2022 « sera »celle où nous mettrons fin à, la pandémie de la Covid. Il dit plutôt qu’elle « doit » être celle où nous mettrons fin à la pandémie.
Entre-temps , le variant Omicron déferle sur la planète sans nuance. Et bat des records de contamination.
Le progrès médical a-t-il atteint ses limites avec cette pandémie qui ressemble à une histoire sans fin ?
En tout cas l’OMS, via la déclaration de son boss fait plus dans la littérature que dans les sciences médicales. Car quand la parole (ou le verbe) devient stéthoscope , la médecine s’égare et les variants ont les maux pour la contredire.
1ère , 2e, 3e et 4e vagues…La déferlante se superpose sur les doses, et le virus se fait le diagnostic de la peur, quand ce n’est pas la panique à l’échelle mondiale.
Covid long, disent les épidémiologistes…quand les personnes vaccinés rechutent. Mais sont déroutés lorsqu’un variant chasse l’autre.
Marathons d’émissions sur le sujet, expectative, panique des politiques qui ne comprennent rien aux rebonds du virus…et à la stabilité de la croissance.
200 000 contaminés en 24 heures en France, chiffre dépassé en Angleterre et dans d’autres contrées : le monde vacille, ploie sous les coups de boutoir du virus.
Le temps , la routine, les habitudes, le boulot, les projets…disparaissent sous les masques des lendemains incertains.
Partout , l’heure est à la condition dérisoire d’exister. Le monde a le blues qu’il n’attendait pas, c’est pire que le jeudi noir de l’économie mondiale d’il y’a un siècle.
Que faire ? Espérer qu’un vaccin canon puisse mettre fin à cette tragédie des temps modernes…c’est le moindre des vœux que nous nous souhaitons…et que Dieu nous entende.