La campagne camerounaise de l’équipe nationale algérienne fut émaillée de pleins de problèmes.
Lieu de résidence des verts ouvert à tous vents…de supporters , de curieux , de sans- motifs et de journalistes algériens se croyant tout permis.
Résultat des courses : ces nuisances, ajoutées à celles liées à l’arrivée tardive des fennecs au Cameroun, et aux aléas climatiques et organisationnels , formèrent un souk au désordre gitan.
Sans oublier l’incapacité de la FAF ( et toute sa cohorte dirigeante) à anticiper sur ces problèmes qu’un simple manager des années 60 aurait réglé en un tour de main.
Ah la FAF…structure gigogne d’une incompétence gigogne. Sinon comment expliquer le cirque, qui nous fut servi à l’aéroport de Douala, pendant le « lâcher » de 19 joueurs algériens, censés passer au moins une nuit après leur dernier match de poules.
Il était où le chargé du transport des joueurs dont la tâche simplissime, qui plus est, était d’assurer aux joueurs un minimum de sécurité et de confort ?
Elle était où la coterie Fafienne préférant se prélasser sur les transat de son hôtel camerounais dans une presque anthropologie ludique ?
Question : le président de la FAF serait-il « le vert de trop » dans cette honteuse expédition de l’équipe nationale algérienne ?
Amateurisme haut de gamme, dévoilement et perception nullissime du monde du foot de haut niveau…Le gouvernement de la FAF a tout de suite collé à la pesanteur de son inimaginable incompétence.
Le boss de la FAF…On le dit en désaccord avec Belmadi ? Autant sonder l’intériorité du mystère.
L’équipe d’Algérie, partit la fleur au fusil au Cameroun mais la cartouchière pleine, fit chou blanc en terre africaine.
Pourquoi ? Ambiance délétère ? Immixtion de la FAF dans le technique ? La prestation des fennecs partit dans tous les sens…sauf dans celui espéré.
Au Cameroun nous dégringolâmes de l’évidence à l’échec et de l’incompréhension à la douleur.
Sauf peut-être du temps de Mekhloufi , Raouraoua et Zetchi, la FAF a toujours été le graal des bouffons, qui ne comprennent rien au foot.
Dissoudre la FAF et la remplacer par une instance provisoire, genre commando, afin qu’elle puisse accorder ses violons avec ceux de Belmadi et son staff , nous paraît le seul moyen d’envoyer l’Algérie au Qatar.