Bassem Naïm, membre du bureau politique et ancien ministre de la santé du gouvernement Hamas à Ghaza se rendra en Algérie pour une série de rencontres avec un certain nombre de partis politiques et de personnalités nationales algériennes pour les mettre au courant de ce qui se passe à Gaza, a annoncé le mouvement dans un communiqué.
Selon le communiqué du mouvement, la visite de Naim devrait s’étendre sur plusieurs jours au cours desquels il rencontrera des acteurs de la scène politique algérienne, pour fournir des explications sur l’agression sioniste en cours et les moyens de soutenir la résistance du peuple palestinien.
Lors de ses dernières rencontres, l’ancien ministre s’est entretenu avec la secrétaire générale du parti des travailleurs, Louiza Hanoun, le premier responsable du Rassemblement National Démocratique (RND), Mustafa Yahi et le chef du Mouvement de construction nationale, Abdul EL Kader Bengrina.
Dans le même contexte, le leader du Hamas a rencontré une délégation des fondateurs de l’Initiative algérienne de soutien à la Palestine, conduite par son président, Cheikh Yahya Sari, où ils ont discuté du projet de l’initiative visant à briser le siège de la bande de Gaza à travers la mer.
Les dirigeants du Mouvement de la Résistance islamique visitent constamment l’Algérie, entretiennent des relations amicales avec divers partis du pays et disposent d’un bureau permanent qui mène constamment des activités lors d’événements nationaux. Deux jours après l’opération « déluge d’Al-Aqsa », Sami Abu Zuhri, membre de la direction de Hamas à l’étranger, a prononcé un discours depuis l’Algérie dans lequel il a déclaré : « La résistance palestinienne est sur le chemin de la résistance algérienne dont nous sommes fiers en tant que Palestiniens, afin de libérer notre terre.
Sami Abu Zuhri a également contribué au Symposium juridique international d’Algérie exigeant justice pour le peuple palestinien, où il a passé en revue les destructions causées par l’agression sioniste en chiffres pour aider les avocats à fournir des preuves concrètes de la guerre génocidaire qu’Israël mène contre les Palestiniens en 2017. Gaza.
R.N