LA NATION Quotidien National D'information
Plus d’une quarantaine de jeunes start-ups porteuses de projets innovants vont participer, samedi prochain à Alger à la deuxième édition “Algéria Startup Challenge” (ASC), a-t-on appris hier auprès des organisateurs.
Organisé par l’incubateur de Startup “Capcowork” sous le parrainage du ministère délégué des Start-ups et de l’Economie de la connaissance auprès du Premier ministre, cette deuxième édition a pour ambition d’être le tremplin et l’accélérateur des projets innovants ainsi qu’un véritable “shaker ” social et professionnel. Ce parrainage offrira six (6) start-ups lauréates une garantie de signature des contrats dans chaque thématique avec les ministères et les administrations publiques concernés, a expliqué à l’APS l’organisateur du programme ASC, M. Abdelfatah Harizi.
“Ces six startups auront également accès aux dispositifs de financements auprès de fond d’investissement qui sera prochainement créé pour les start-ups et elles seront accompagnées par une délégation ministérielle tout au long du programme”, a ajouté M.Harizi.
Selon un communiqué de Capcowork, il y’aura parmi les thématiques, qui seront traitées lors de cette deuxième édition l’économie circulaire, l’entrepreneuriat social, le E-gouvernement, le Tourisme, la Télémédecine et le traitement des dossiers ainsi que la logistique, la distribution et le transport. CapCowork est un incubateur de startups dédié à la création d’un écosystème entrepreneurial innovant dont la dynamique repose sur la promotion et l’encadrement de la jeunesse algérienne avec le soutien des acteurs économiques locaux.
Quant à Algeria Startup Challenge (ASC), c’est un programme qui a pour but de booster les porteurs de projets ayant des idées de startup et autres solutions innovantes visant à améliorer le quotidien du consommateur algérien ainsi que le développement de l’économie collaborative.
R.E
Le monde de l’irréel est à nos portes alors que des centaines d’entreprises fonctionnelles se retrouvent en standby depuis plus d’une année. L’Algérie veut se lancer dans ce domaine de start-up qui est l’irrel, mais le réel on l’à perdu. Des milliers d’emplois sont perdus , une production quasi-nulle chez des entreprises qui agonisent, un climat économique au bord du gouffre , et on nous parle de financer des start-up dont l’issue est incertaine.
Je parie que les membres de l’incubateur CapCowork , dont le siege est a hydra, sont des jeunes liés par un même état de situation proche de la nomenklatura Algérienne.
Ce n’est pas le fils ou la fille d’un Algérien lambda qui peut accéder à toute cette attention accordée par le régime et ce sera ainsi des six start-ups qui auront l’honneur d’être choisies pour tout ce mécanisme d’aide financière.